05 novembre 2008

Ce 5 novembre 2008, nouvelle Journée Noire pour le monde libre !

Comme le 11 septembre 2001, ce 5 novembre 2008 est une journée noire pour le monde libre. Journée noire qui inaugure sans doute, hélas, des lendemains plus sombres encore !




Ce jour, le peuple américain a voté comme « on » a fait en sorte qu'il vote ! Pour cela, les MSM (Mainstream Medias), les « faiseurs d'opinion » acquis à la gauche, ont soumis ce peuple, depuis des mois, à un matraquage d'une incroyable démagogie, à un véritable rouleau compresseur médiatique, fait de désinformations, de mensonges, de diffamations, de déni de réalité sur fond de vacarme omniprésent, un vacarme plein d' « émotions », de « rêves », de « gnangnan », de (chantage aux) « bons sentiments » mais ...vide de sens ! Bref, d'une désinformation quasi permanente, destinée a empêcher le compte-rendu fidèle des faits et leur vérification, ainsi que l'analyse, la réflexion, et le débat sur ceux-ci. Le tout scandé par des « sondages » ventriloques.

Mais aussi, un peuple implicitement menacé de l'accusation de « racisme » s'il refusait d'élire un candidat métis et musulman, issu à la fois des milieux noirs les plus racistes et les plus haineux envers les blancs, et des milieux de gauche les plus extrémistes. Un candidat puissamment soutenu financièrement par une upper-class « démocrate » corrompue et avide de pouvoirs à n'importe quel prix, qui en a fait son cheval de bataille.

Un peuple tenu en laisse par cette caste arriviste "multinationale" qui méprise ce peuple attaché à son pays, à sa terre, à tout ce qui fait la nation, et qui, au nom de la « diversité » et de l' « affirmative action (discrimination positive) a recyclé à son profit le discours gramscien, la lutte culturelle de l'extrême-gauche. Une « upper » classe qui se soucie comme de colin-tampon des effets négatifs à long terme que sa politique ne manquera pas de provoquer, comme elle se désintéresse tout autant de l'intérêt des générations futures qui vont subir les effets du démantellement larvé de leur nation, voire affronter, comme en Europe, probablement devenue - entretemps - Eurabia, la balkanisation, la formation d'enclaves, la guerre raciale, les affres de l'esclavage et de l'oppression musulmane.




1. Le peuple américain, disais-je, a fini par céder à la pression médiatique.

Ce sinistre 5 novembre 2008, malgré une résistance soutenue du candidat républician, John Mc Cain (qui, au vu des rares sondages non "ventriloques", a bien tenu jusqu'au moment du déclenchement de la crise financière), le peuple américain a fini par élire comme 44-ème président des États-Unis :

  • un candidat profondément menteur, un candidat qui n'a jamais cessé de mentir tout au long de sa campagne, mais dont les mensonges ont été étouffé, tout-au long de celle-ci par des médias très complaisants

  • un candidat (qui aurait normalement dû être déclaré) inéligible : né au Kenya, et non à Hawaï comme il le soutient, il ne remplissait même pas les conditions d'éligibilité !
    (parions que si un procès en destitution, bien mérité, lui était intenté, on verrait toutes les « bonnes âmes », toutes les brêles multiculturalistes qui ont fermé les yeux sur tous ses mensonges et toutes ses turpitudes bêler au « rââcizzme »)

  • un candidat aux deux mains gauches: un candidat qui, en dehors de sa capacité à se défiler et à faire prendre des vessies pour des lanternes, et de son charisme pour les nuls, n'a aucun autre actif à son crédit que son élection comme le Sénateur le plus à gauche du parti Démocrate, qui n'a aucun programme consistant, en dehors du «demain on rase gratis», et dont la seule stratégie de campagne était basée sur l'apparat, le culte de sa personnalité, les promesses démagogiques tous azimuts, disproportionnées et souvent contradictoires entre elles. Un sénateur depuis seulement quatre ans, qui n'a fait aucune proposition de loi, aucune intervention notable, et trouvait le moyen de s'absenter chaque fois qu'intervenait un choix difficile, un vote pouvant nuire à sa popularité, devient, par une sorte de tour de passe-passe médiatique, le 44ème Président des États-Unis !
  • un candidat qui a fait un lapsus révélateur sur sa « foi musulmane », lors d'une interview, et qui, en tout cas, entretient des relations suivies avec le terrorisme palestinien, les islamistes du Hamas et du Hezbollah, comme avec le Fatah.

  • un candidat d'extrême-gauche: un candidat qui faisait partie du « New Party », l'aile activiste d’extrême-gauche du Parti Démocrate. Et qui entretenait des contacts étroits avec des activistes dangereux comme, par exemple, le terroriste William Ayers, ou le terroriste palestinien Rashid Kalidi.

  • un candidat raciste, qui a également évolué pendant vingt ans dans les milieux racistes noirs, où il a suivi les prêches extrémistes de son ami intime, le pasteur Jeremiah Wright, entretenu des relations avec Louis Farrakhan (leader de Nation of Islam, et grand admirateur d'Hitler), les Black Panthers, etc.

  • un candidat antisémite, qui n'a pas hésité à affirmer que « Dieu n´a jamais donné de blanc-seing à Israël pour occuper la Palestine», ou qu’Israël était « une plaie infectée au Proche-Orient » ou encore « qu’Israël pratique un génocide à l’encontre des Palestiniens »
  • un candidat pacifiste, dans le sens que l'extrême gauche donne au mot pacifisme : un candidat qui n'a eu cesse de nier les effets salutaires de l'intervention des États-Unis en Irak, n'a jamais daigné rencontrer le général David Petraeus à l'origine du redressement spectaculaire en Irak, dont il menace de retirer les troupes américaines alors qu'un début fragile de démocratie se fait jour, un candidat qui a déjà annoncé une politique d'apaisement (donc de laxisme accru) envers l'Iran, qui fera courir un risque accru d'instabilité dans la région, et donc un risque accru pour l’existence même d’Israël.

  • un candidat véreux, étroitement lié à l’ACORN (association en examen pour fraudes électorales massives), dont les fonds qui ont permis d'acheter son élection proviennent pour une part de financements occultes (notamment par des états islamiques comme la Syrie, qui a financé la campagne des démocrates avec des fonds iraniens) et pour l'autre partie, essentiellement, d'une « upper-class» démocrate qui a dépensé sans compter pour imposer son « poulain », ce qui lui a permis de dépenser trois fois plus pour sa campagne (dont 600 millions de dollars de pub) que le candidat républicain. Tout le reste (comme la soi-disant participation massive de nombreux petits donneurs par internet, qui auraient ainsi financé "l'essentiel de la campagne"), ne sont que légendes et mensonges destinés à donner le change...

  • un candidat qui a été propulsé par le mensonge sur la crise financière, dite des “subprimes” (crédits aux individus non-solvables). Un matraquage médiatique mensonger a fait croire aux américains (et aux autres) que cetet crise était provoquée par une « dérégulation des marchés », par un « capitalisme sauvage », alors qu'elle était, au contraire, provoquée par des mesures socialisantes très interventionnistes votées sous Clinton, facilitant le crédit aux insolvables. Ces mesures, allant jusqu'à la possibilité d'invoquer devant les tribunaux une « discrimination » en cas de refus de crédit, étaient renforcées par des sociétés semi-publiques de refinancement comme « Fanny Mae » et « Freddy Mac » qui ont disséminé le refinancement de ces « toxic credits » dans le monde entier pour aboutir à la crise financière gigantesque que l'on connaît actuellement. Ces sociétés peu scrupuleuses étaient étroitement liées à des personnalités démocrates. Des « pompiers-pyromanes » qui ont réussi le tour de force de faire du marché et d'une soi-disant « déréglementation le bouc émissaire de leurs erreurs étatistes et leurs manipulations interventionnistes.

  • un candidat qui a d'ailleurs soutenu lui-même ce système des subprimes, en s'opposant à la réforme que son futur rival conservateur, John McCain, proposait pour éviter ou atténuer les risques d’une crise financière sans précédant. Un candidat qui a comme conseiller un ancien

  • un candidat communautariste, qui a bénéficié du vote plébiscitaire des électeurs noirs, qui ont voté pour lui à plus de 90 % (et qui n'ont pas hésité à recourir à l'intimidation devant certains bureaux de vote, ni a des fraudes massives) sans que personne ne se risque à soulever la question du racisme que pose ce vote massivement communautariste.

  • un candidat qui a, enfin, bénéficié d'une participation et d'un vote massif des communautés musulmanes, d'habitude indifférentes à la vie politique aux États-Unis., et peu présente habituellement au scrutin. Ainsi que de ce que toute la planète compte de dictatures, et autres états musulmans terroristes, mais aussi de tous les "bobos" et de tous les "multicuculs" de la planète.



2. Le peuple américain n'est pas SEUL responsable du choix calamiteux qu'il a fait !


Le peuple américain est certes responsable de son choix. Mais ce choix n'a pas pu être fait en connaissance de cause, dans un climat d'hystérie, de tromperie et de mensonges permanents, sur fond d'«antiracisme » bêlant. Une campagne de désinformation systématique organisé par une presse hystérique (1)



Bref, une « presse » aux ordres. Une presse d'agit-prop'.

Une presse qui, au mépris de toute déontologie professionnelle, a troqué :

  • le langage de la raison (si tant est que la plupart des « journalistes » l'ont jamais eu) pour celui de l'émotion facile

  • la recherche et l'analyse des faits objectifs pour l'appel aux rêves fumeux,, et aux promesses délirantes et sans consistance, souvent absolument impayables (au sens humoristique comme au sens financier pour certaines)

  • le respect du lecteur et de l'électeur et son droit à une information équitable, contre la manipulation de bas-étage et la désinformation systématiquement orchestrée (2)

Cette « presse » de désinformation a également troqué ce qui devait être l'élection d'un président des États-Unis pour une sorte d'élection d'un nouveau « Messie », destiné à jouer aux rassembleurs derrière la couleur de sa peau (bonjour le racisme gramsien !). Pour atteindre ce but gramscien, la presse a recouru sans vergogne au black-out et aux déploiements d'écrans de fumées pour recouvrir les faits les plus dérangeants, faisant ainsi l'impasse sur le passé et les accointances gênantes de ce nouveau « Messie ».


Le peuple américain était – par ailleurs - implicitement menacé de « racisme » s'il se refusait à voter pour un candidat d’extrême-gauche, un candidat raciste musulman anti-occidental, même si c'est un candidat sorti du milieu noir le plus raciste et le plus haineux, dès lors que ce candidat était métis.

(1) surtout outre-Atlantique, et particulièrement en France, où le caractère « noir » du candidat (il n'était donc plus métis ?) a été exacerbé de façon inimaginable par une presse bêlante et délirante !



3. Les conséquences de ce choix catastrophique ne vont néanmoins pas se faire attendre !

Citons, parmi les plus prévisibles :

31. l'influence grandissante de l'extrême-gauche dans le Parti démocrate, amorcé depuis une quarantaine d'années, ne sera probablement pas enrayée.

Le noyautage du parti démocrate par l'extrême-gauche, commencé sous l'ère Nixon, et même avant, est déjà devenu très important actuellement. Pour en donner deux exemples frappants, il n'est que de mesurer la façon dont une certaine « upper-class » a réussi à sortir un sénateur presque inconnu, et n'ayant aucune réalisation à son actif, du lot pour en faire un candidat "présentable", et l'imprévisible éviction de Hillary Clinton (qui a stupéfié tout le monde, notamment au Parti démocrate), de la course présidentielle.

Malgré les contre-feux que le Parti Démocrate s'apprête probablement à mettre en place, cette influence ne fera que croître dans un avenir prévisible, et risque d'aboutir aux phénomènes suivants:

311. une remise en cause drastique de la politique pro-israélienne menée traditionnellement par l'administration américaine



312. une augmentation sensible de l'antisémisme aux Etats-Unis

Celle-ci est déjà très sensible dans les universités américaines et dans les milieux « intellectuels » de la gauche démocrate., comme on a pu le mesurer à l'occasion du climat de conspirationnisme qui entoure les attentats du 11 septembre, mais aussi les manifestations antisémites et islamophiles lors de l'entrée en guerre en Irak, ou l'éternelle accusation de « conspiration des banquiers juifs » lors de la crise financière actuelle.

313. une islamisation accrue, et une jonction plus forte entre les courants d'extrême gauche et les courants islamophiles.

Alors que la résistance à l'islamisation commençait à s'organiser sérieusement aux Etats-Unis, n'hésitant pas à bousculer les tabous actuels du politiquement correct, et à se faire plus présente (comme avec la distribution massive aux lecteurs de journaux du film « Obsession » sur CD ) , cette résistance risque de faire les frais d'une politique de plus en plus liberticide, comme en France, qui cherche à « la mettre au pas ».

Une politique ou terrorisme intellectuel de gauche et taqqiyya se combineront encore d'avantage pour étouffer notre liberté de pensée, de critique, et d'opinion.



32. La politique extérieure des Etats-Unis risque d'être catastrophique !

321. La lutte globale contre le terrorisme risque d'être abandonnée, et une nouvelle vague de terrorisme est malheureusement à prévoir !

Alors que la gravité de la menace islamiste n'est nullement disparue, et que celle-ci se diversifie (notamment avec un accroissement des recrues occidentales parmi les nouveaux convertis) , un retrait d'Irak, qui libèrerait des ressources qui pourraient se déployer sur d'autres terrains aurait un effet catastrophique. De même, la stratégie globale de lutte contre le terrorisme, qui a permis que les États-Unis n’aient plus subi d'attaques sur leur propre sol depuis le 11 septembre 2001 (dépassant de loin les prévisions les plus optimistes des experts) risque d'être abandonnée au profit d'un retour à une recherche classique, au cas par cas, de résolution locale des conflits. Ce retour, qualifiée par les démocrates de "pragmatique", fait fi de la nature globale du terrorisme islamique, et pourrait avoir des effets désastreux, face à un ennemi dont la stratégie reste globale, et qui ne s'embarrasse ni de frontières, ni de respect des traités locaux.

Le relâchement (qui se dessine déjà clairement, avec, par exemple, la promesse inconsidérée de fermer le camp de Guantanamo) de cette lutte contre le terrorisme s'accompagnera de mesures d' « apaisement » et de « dialogue » dont on connait déjà le résultat catastrophique ailleurs, comme en Europe et au Canada. La politique de « la main tendue » ne pourra être perçue que comme un aveu de faiblesse, tant par les pays islamiques et les multiples groupes terroristes que ces pays (dont l'Iran et la Syrie) entretiennent de par le monde, que par les autres dictatures, comme la Corée du Nord, l'autre menace nucléaire, et les dictatures et quasi-dictatures populistes d'Amérique du Sud.

322. L'administration américaine réactivera l'ONU, ce repaire d'incapables, de couards, et de racistes droitdelhommistes, qui sert de chambre d'écho aux pays islamistes et aux pays gauchistes revanchards

L'ONU est devenu, depuis déjà longtemps, la plate-forme de l'OCI, l'Organisation de la Conférence islamique (OCI), dont aucun des 54 états n'a souscrit à la Déclaration Universelle des droits de l'Homme, une organisation qui souhaite la criminalisation de l' « islamophobie » (délit de blapshème) , une première étape fondamentale vers le musellement de l'esprit critique et l'acquièscement tacite aux normes de la loi islamique, la Charia. Cette organisation, fondamentalement raciste anti non-musulmans, prépare, au sein de l'ONU, l' « Alliance des civilisations », une appelation hypocrite pour une tentative multiculturaliste destinée à torpiller les normes occidentales en matière de droits de l'individu, et la conférence, dite de Durban II, contre le « racisme », qui sera présidée par ...l'Iran (champion, comme l'on sait dont les deux objectifs majeurs sont la criminalisation d'Israël et la " diffamation des religions" (comprendre : pénalisation de toute attaque contre cette secte raciste qu'est l'islam) au nom d'un prétendu « anti-racisme », anti-racisme ultra-raciste rebabtisé "lutte contre l «'islamophobie ».

Sous l'égide de l'OCI et avec le soutien d'autres dictatures, et de pays apeurés par la menace pétrolière, plusieurs "résolutions", certes sans valeur contraignantes, mais néanmoins extrêmement inquiétantes, ont déjà été votées dans ce sens, par une majorité de pays, contre les démocraties occidentales.

Nul doute que le choix de ce nouveau président, crypto-musulman d'extrême-gauche et raciste anti-blancs, favorisera l'accélération de ce prétendu mouvement d' « Alliance des Civilisations » , qui est en fait un mouvement d'llégeance de la civilisation à la barbarie, destructeur de l'Occident, de ses valeurs démocratiques, et de liberté. Et ce, quels que soient les garde-fous dont le parti démocrate, et les sponsors de l' « upper-class » gramscienne, genre Sorros et Cie, , voudront l'entourer par ailleurs.

323. L'Iran continuera sa marche vers la bombe nucléaire sans connaître de véritable opposition de l'administration américaine.

Le jeu de dupe actuel que pratiquent les mollahs d'Iran vis-à-vis de l'administration Bush ne changera pas parce que la nouvelle administration démocrate voudra prôner un « dialogue direct », bien au contraire. Cette nouvelle attitude sera perçu comme un signe de plus de l'impuissance des États-Unis à imposer un démantèlement de l'arsenal nucléaire dont sont occupé à se doter les mollahs, et encouragera ceux-ci à continuer à développer leur potentiel de nuisance, notamment via les différentes factions terroristes qu'ils entretiennent de par le monde, comme le Hezbollah au Liban et le Hamas en Palestine.

324. L'Irak va avoir du souci à se faire...

Le désengagement annoncé en Irak, et le déplacement d'une partie des troupes vers l'Afghanistan, théâtre d'opérations décentré et de bien moindre intérêt géostratégique, risque de remettre sérieusement en cause les résultats très nets obtenus par l'opération de contre-insurrection Surge en matière de réduction des actes de terrorisme (résultats soigneusement tus par la presse française) .

... et le reste du monde aussi !

Pire, un tel désengagement ouvrirait un boulevard pour l'Iran pour influencer, sinon menacer directement les monarchies pétrolières, et même l'Europe. Que les médias occidentaux ne voient pas cette menace de cet excentrement du théatre d'opérations est proprement ahurissante, et en dit long sutr l'abêtissement et l'aveuglement de nons me(r)dias.. !

325. La politique de la nouvelle administration américaine au Proche-Orient sera au mieux inexistante, au pire, extrêmement dangereuse pour Israël.

Au mieux, la nouvelle administration se contentera d'agiter les actuels 'hochets' : « implication » américaine dans les négociations avec la Syrie, le Hamas et le Fatah, « dialogue » avec l’Iran, avec la « menace » d'hypothétiques « nouvelles sanctions ». Mais la collaboration logistique, le renseignement, et l'aide militaire dont bénéficiait Israël risque d'être fortement réduits ou de disparaître. Si l'administration décidait de se désengager du problème du Moyen-Orient, cela ouvrirait un boulevard à l'Europe et à la Russie, et ce serait peut-être pire encore.

Mais la nouvelle administration américaine sera certainement constituée de la plupart des conseillers du candidat qui vient d'obtenir la présidence , et de ses pseudo "spécialistes" qui considèrent - souvent avec une mauvaise foi évidente - qu'Israël est « le nœud du problème », et il est probable que cette nouvelle administration exigera d'Israël encore d'avantage de concessions, des concessions qualifiées de « radicales » pour aboutir à un soi-disant « règlement "équitable" du conflit » .

Alors que c'est exactement le contraire : non seulement Israël n'est pas « le nœud du problème » (1) , mais les mesures « radicales » préconisées risquent d'être seulement radicales pour l'existence d'Israël et de sa population juive.
S'il veut survivre, non seulement Israël devra résister fermement aux nombreuses pressions, voire menaces, que l'administration américaine fera immanquablement dans ce sens et refuser toute nouvelle concession, mais il faudra qu'il songe au contraire, à revenir sur les concessions passées, en dénonçant les accords qui n'ont jamais été respectés par les musulmans. Et passer, au contraire, à des actions plus musclées : interdire l'acheminement de toute aidelogistique ou financière européenne, américaine ou autre, aux palestiniens, nettoyer les enclaves de Gaza et Cisjordanie de tous les terroristes musulmans (et faire la même chose avec le Hezbollah au Liban, d'ailleurs) . Expulser vers des pays musulmans tous les populations qui constituent, sur son sol, une menace pour son existence. Et détruire les capacités nucléraires de l'Iran avant qu'il ne soit trop tard.

(1) tout au plus Israël est il le "canari dans la mine", [addenda: selon l'expression d'Alfons Heck,] un canari dont le sacrifice ne résoudrait rien du tout, mais serait simplement une préfiguration de ce qui attend les autres peuples occidentaux, mais aussi le Japon, l'Inde, et la Chine, s'ils ne mettent pas fin à cette infection totalitaire qu'est l'islam.

326. L'Europe paiera cher son Obamania, et devra assurer elle-même sa sécurité,

Tant dans ses engagements internationaux (où elle sera priée de compenser elle-même un probable désengagement américain) que sa lutte anti-terroriste, L'Europe va faire l'apprentissage douloureux de ce à quoi servait réellement la guerre en Irak, lors d'un probable retrait américain : désormais libérés du « puits de violence » qui les retenaient en Irak, suite à ce qu'ils considéraient comme une agression du "Dar Al Islam" (la Maison de l'Islam), les terroristes musulmans vont pouvoir consacrer d'avantage de ressources pour tenter de disséminer leurs actions dans le "Dar Al-Harb" (la Maison de la Guerre), et reprendre leurs attentats contre les villes et les intérêts européens (et indiens).

L'Europe "transnationale", déjà largement dhimmifiée, et les états qui ont suivi (voire précédé, comme en France) ce mouvement de dhimmification, n'aura plus à tenir compte de la résistance américaine comme garde-fous : les progrès de l'islamisation conjugués à ceux de la censure de la liberté d'expression risquent d'être encore bien plus rapides.



33. Sur le plan de la gestion intérieure, ce ne sera pas beaucoup mieux

331. L'administration américaine aura probablement les mains libres, mais ...ne fera rien (de bon).

Avec la probable arrivée massive des démocrates au Congrès, celui-ci passera probablement complètement sous contrôle « démocrate », et il est douteux que, en dehors de veiller au « renvoi d'ascenseur » pour rétribuer les coûteuses prébendes électorales, ce contrôle s'exerce réellement contre la nouvelle administration américaine, si ce n'est, tout au plus, pour tenter de « limiter la casse » dans les cas graves.

Mais ça ne changera pas grand chose, car non seulement le président sera complètement incapable, surtout dans un contexte économique aussi défavorable, d'honorer ses promesses d'instaurer un État Providence, une sécurité sociale à charge de l'état, et autres délires étatistes, etc… mais toute tentative, même timide, dans ce sens, aboutira à une augmentation de la dette publique, des impôts et des taxes, et se soldera par un étouffement de l’économie, sans effet positif notable.

332. en dehors de mesures interventionnistes, la gestion de la crise financière sera tout simplement ...inexistante !

Résoudre la crise financière sans créer une nouvelle bulle spéculative ailleurs exigerait des mesures drastiques, à commencer par l'abolition de toutes les mesures interventionnistes, prises, e.a. au nom de la « discrimination positive ». Comme les pressions que subissent les banques américaines, au nom du Community Reinvestment Act ou le Home Mortgage Disclosure Act (statistiques raciales sur l'octrois de prêts hypothécaires), pour les obliger à faire du crédit aux gens, bien au delà de leur capacité d'endettement, avec la pyramide imaginée par avec les organismes de refinancement des crédits subprimes. Or ces mesures ont été obtenues par des groupes de pression comme l'ACORN (Association of Community Organizations for Reform Now) où on retrouve un certain ...Barack Hussein Obama !

Peu de chance donc que ce dernier soit enclin à revenir sur ses erreurs idéologiques, et prenne le contre-pied en prenant des mesures impopulaires qui éliminent les canards boiteux et les activités non rentables, et supprime les facteurs de corruption et autres mesures réglementaires qui provoquent des distorsions de concurrence, pour que l'économie reparte sur des bases saines .

332. Le repli isolationniste des États-Unis va encore s'amplifier d'avantage

Paradoxalement, la politique « d'ouverture et de dialogue tous azimuths » du nouveau président « noir » (pourquoi noir, au fait ?) ce messie crypto-musulman qui marche sur l'eau va accélérer le repli isolationniste et non l'inverse. Les dictatures islamiques et autres sont loin d'être aussi crétines que nos démocraties peuplées de décérébrés de gauche, et ne se laisseront nullement abuser, elles, par ce « dialogue d'ouverture » tous azimuths censé apporter la grande conciliation multicucul entre races, cultures, et religions (et sectes assimilées comme l'islam).


Ces dictatures sauront bien éviter les pièges de cette « politique de la main tendue » en pratiquant ce qu'elles font à merveille : se positionner en victimes et exiger toujours d'avantage en ne donnant jamais rien en échange, face aux démocraties irrésolues et démissionnaires. Et elles profiteront sans vergogne de la situation de faiblesse accentuée que créera le nouveau président, dont le gauchisme, le multiculturalisme et la haine anti-blanc et anti-occidentale seront comme autant de portes d'entrées à

Les démocraties, et particulièrement les démocraties européennes, engagées dans cette énorme farce d' « Alliance des Civilisations » avec la complicité des eurocrates cyniques de cette autre prostituée (la première étant l'ONU) qu'est l'UE, se réveilleront avec la gueule de bois de leur « Obamania » et avec des défenses immunitaires encore amoindries : l'unanimisme et la pensée unique de gauche auront encore fait des progrès inquiétants, avec la complicité d'une droite affairiste cynique et sans scupule, la répression des libertés fondamentales, à commencer par celle de penser (déjà bien entamée, notamment dans ce pays à la pointe du combat liberticide qu'est la France) . Les « démocrates » américains auront réussi, une fois de plus, à faire ce qu'ils savent si bien faire (comme avec les subprimes, ou avec la destruction de l'Iran du Shah) : foutre la merde partout ailleurs au nom des bons sentiments gnangnans , et tirer ensuite leur épingle du jeu, en brûlant ce qu'ils auront adoré, et en écartant celui qu'ils auront mis en place (à moins qu'un sursaut républicain - improbable à l'heure actuelle - ne les prenne de vitesse).

L'Europe en perte de démographie (et dont les eurocrates onts sciemment favorisé une immigration musulmane massive et non-contrôlée, sans tenir compte des risques, et sans l'aval des peuples d'Europe) sera bien avancée sur le chemin d'Eurabia , confirmant les pronostics les plus sombres de Bat Ye'Or ou encore de Marc Steyn, losqu'il décrit la fin du monde tel que nous le connaissons dans "America Alone"