06 août 2008

Comment les médias français entretiennent l'irénisme ...et le mensonge permanent (3)

Pour les détails de l'affaire "Al Doura" voir les épisodes précédents de
« Comment les médias français contribuent à entretenir l'irénisme en France ».
  1. Comment les médias français ... (1)
  2. Comment les médias français ... (2)
Pour la notion d'Irénisme , voir : Irénisme et Islam


Cette fois, dans le cadre de l'Affaire Al Dura, je vous parlerai moins du dhimmi alter-juif Charles Enderlin, que de la chiée de beaufs qui le soutiennent dans sa campagne de désinformation, campagne qui consiste à nier envers et contre toute vraisemblance, la fable de la Mort de Mohammed Al-Dura.




Premier exemple (1) : le «caricaturiste» gauchiste, pacifiste, tiers-mondiste, multi-cucul et antisémite(oui je sais: ça commence à faire beaucoup ! Pourtant...) dont le nom est Jean Plantureux, alias Plantu.
(1) Notez que je n'avais que l'embarras du choix, dans ce panier de crabes de "journalistes", "chroniqueurs", "éditioralistes" et "dessinateurs" de Charlie-Hebdo, Marianne, le Nouvel Obs (de ce cher antisémite Jean Daniel), L'Express, sans oublier - bien sûr - ces grands classiques de la presse gaucho-gnangnan que sont Libé, l'Huma, et l'(Im)Monde (version "normale" ou "Diplodocus") et j'en passe...
En bon gramscien rodé à la lutte culturelle, et convaincu que le noir, le musulman, le palestinien sont - par définition - des exploités et les meilleurs êtres de la terre, et que le blanc, le juif, l'occidental sont les pires exploiteurs, et que leur culture et leur civilisation, c'est caca,Plantu est viscéralement opposé à toute vérité qui contredit le dogme gramscien qu'il défend bec et ongles dans ses caricatures (2)

(2) caricatures qui sont assommantes de répétitions, car elles vont toutes dans le même sens : l'africain pauvre, digne, victime, est magnifié par rapport au blanc, gras, laid, profiteur, etc.. ad nauseam ! Et, bien entendu, du "pauvre" palestinien du Fatah ou du Hamas, qui doit faire face au vilain « oppresseur » israélien qui l'empêche d'accomplir ce que sa "culture" et sa "religion" lui imposent : rejetter tous les juifs à la mer. Logiquement, Plantu futdonc un des premiers à s'offusquer à l'AFP des caricatures danoises de Mahomet, en déclarant « je revendique le droit à la nuance » (le ridicule ne tue pas). Quand Plantu vole au secours de son copain Siné, un autre antisémite notoire (2a) , dessinant Val (le propriétaire de Charlie-Hebdo, qui a - à juste raison- éjecté Siné du journal), en nazi, mettant un coup de pied au cul de Siné, il fait, bien sûr, dans la nuance... C'est vrai qu'il prend la précaution de dire que, selon lui, ça ne signifierait, en aucun cas, qu'il cautionne les éructations antisémites de Siné (ben tiens !) .
On appréciera, au passage, l' «imagination» en perpétuel renouvellement de «l'artiste» Plantu : outre ses nombreuses caricatures de Le Pen, toutes basées sur le même moule, il caricaturait déjà, dans le Monde, dans la foulée du "tout sauf Sako", Sarkosy en nazi. Bigre, quelle imagination !

(2a) Siné, c'est ce charmant thuriféraire des fedayinns palestiniens, qui a notamment été condamné en France pour avoir déclaré le 9 août 1982, quelques heures seulement après l'attentat terroriste de la rue des Rosiers, qui fit un carnage (six morts et 22 blessés) en plein quartier juif : "Je suis antisémite. Je vais faire dorénavant des croix gammées sur tous les murs… Je veux que chaque juif vive dans la peur, sauf s’il est pro palestinien…"

Même - et surtout - lorsqu'elle émane des attendus d'une justice française pour une fois exemplaire, car elle a pris le temps d'examiner soigneusement tous les faits, prenant toutes les précautions nécessaires, et ayant visionné attentivement les rushes avant de conclure - de la manière la plus nette et la plus complète possible - que Philippe Karsenty, en qualifiant le « reportage » de Charles Enderlin de supercherie médiatique n'avait - en rien - diffamé ni Charles Enderlin, ni France 2.

Exit le chantage juridique contre ceux qui exercent leur sens critique, en même temps que leur liberté d'opinion à l'égard de ce « grand journalissst » (autoproclamé) qu'est Charles Enderlin. Les nains-tellectuels manipulateurs et liberticides, les maîtres-chanteurs gramsciens du multiculturalisme et les policiers de la pensée stalinienne ont peut-être perdu là une bataille décisive.

Les Siné, Plantu, Charles Enderlin et consorts en sont donc réduits à pleurnicher entr'eux, en ressassant sans fin leur ignoble propagande : l'original de la caricature (évidemment beaucoup moins drôle que la « caricature de la caricature ») se trouve, bien évidemment, publiée sur le blog de Charles Enderlin (il n'y a pas de petites ignominies)

[to be continued]