18 octobre 2006

Soutien à Robert Redeker.



Vous trouverez dans le lien ci-dessus, une pétition, visant à soutenir ce professeur qui, après l'écrivain Michel Houellebecq, le pape Benoït XIV , et bien d'autres, vient d'être inquiété, parce qu'il ose exercer son droit d'expression critique à propos de cette religion sectaire qu'est l'Islam, et de son texte de base criminel, infâme et névrogène, le Coran.
Photo BlueKing ©


J'ai signé cette pétition, en y ajoutant, pour ma part, le commentaire suivant :

Que ressentir à part la honte et l'indignation, face à nos politiques et à nos médias, qui cèdent de plus en plus aux intimidations, et qui, de plus en plus, bradent nos droits fondamentaux et nos libertés inaliénables, en se laissent gagner par l'islamisation des esprits, qui grignote, petit à petit, nos valeurs démocratiques.

L'islam est bel et bien une religion sectaire, et le Coran, un texte hallucinant de haine, de violence et de mépris envers l'autre, considéré comme moins que rien parce que femme, parce que homosexuel, parce que non-musulman, juif, chrétien, athée, et, pire que tout, parce que apostat (car l’islam interdit à tout musulman, sous peine de mort, de quitter la secte).

Un islam qui fait de l’Autre un moins que rien que l'on peut se permettre de soumettre ou d'humilier, de tuer, de réduire en esclavage ou en dhimmitude, etc.


Que ce soit en cédant au chantage, ou que ce soit en tentant de perpétuer le mensonge qu'il y aurait un «autre islam » non névrogène, on perpétue LE PIRE DES RACISMES, car on enferme une majorité de personnes d'origine musulmane dans un piège inextricable, coincés entre un communautarisme menaçant qui les happe comme une gangue, et une protection des libertés démocratiques qui va en s'effilochant et qui ne les protège plus.


Résultat, nombre d'entre eux n'osent même plus clamer ouvertement qu'ils ont pris leurs distances par rapport à cette secte névrogène, et n'osent même plus s'afficher comme des citoyens normaux, libres et critiques, épris de valeurs démocratiques. Terrorisés par l'islam, et sans aucune illusion sur la volonté des occidentaux de défendre encore vraiment les valeurs universelles qu'ils pronaient jusqu'il y a peu, ils sont condamné à rentrer dans le rang de la barbarie. Quand certains de ces occidentaux, comme dans la gauche obscurantiste, et compagnon de route de cette barbarie qu'est l'islam, ne se complaisent pas eux-mêmes dans un soi-disant multiculturalisme sournois et un relativisme culturel, qui présente l'indéfendable comme étant la norme.


Un relativisme culturel qui, comme l'explique très bien Valérie Toranian dans son excellent essai « Pour en finir avec la femme » paru aux éditions Grasset, « n'est rien d'autre qu'un racisme ripoliné aux couleurs de la tolérance. Si les républicains de gauche ou de droite, qui veulent faire vivre la laïcité et défendre les droits des femmes, sont des néocolonialistes, alors ceux qui renvoient les peuples ou les communautés à leur condition, sous prétexte de respecter leur différence et leur culture, sont des néoracistes. »

On ne saurait si bien dire !